Révisions

Youhou je devrais réviser mais je suis en (longue) pause^^ à regarder Sex and the city devant un bol de pâtes ... de toute façon j'aurais mes examens. Et oui j'ai confiance!

J'attends quand même avec impatience ma note du Cours Queer Studies que j'ai pris en option. Je me suis posé un dilemne : je le réussi pour avoir une super note ce qui me rendrais trés fière ou je le rate exprés pour recommancer en L3? ^^ La vie est faite de choix et j'ai choisi de tenter le 15, je vous tiens au courant... En attendant, ici le soleil brille depuis 2 jours, il fait trés chaud, la vie est belle mis à part les garçons.

J'arrête de me lamenter okokok... Un petit extrait? ^^

Les studios veulent des héros sympathiques. Philadelphia a attirer de nouvelles personnes et a montrer la stigmatisation.

Inspiré du livre The celluloid closed de Vito Russo : étudiera 80 ans de cinéma, étude approfondie. Le cinéma hollywoodien influence beaucoup l’imaginaire populaire.

Étapes importantes : le personnage homo n’est pas vraiment un être sexué mais une tapette, très efféminé, enfantin, seul, comique, met en valeurs les personnages masculin, presque un élément du décor, le travesti aussi. Caricaturaux, montrer ce que doit être la virilité et la masculinité.

Les personnages évoluent, plus forcément comiques mais deviennent centraux et donc aussi dérangeants, menaçants : voués à des fins tragiques et violentes : purification nécessaire : rassurant. Code Hays : autocensure, soutient des ligues de vertu dans les 30’s. on parlait de perversion. Dans les 50’s, période de Maccarthysme découle du Hays : chasse aux sorcières : épuration, propagande par le cinéma. Homos = maladie menaçante. L’ennemi intérieur.

Importance du cinéma car installe les normes, les identifications… leur image d’eux même est forgée par la représentation ou l’absence de représentation sexuelle au cinéma. Hollywood a longtemps donné une image négative des homos : « Faire rire, faire pitié, faire peur ».